La FECAVOLLEY et ABOUEM ne sont plus seuls contre la forfaiture de la FIVB

La Fédération argentine de Volley-ball a adressé un email de soutien a la Fédération Camerounaise de Volley-ball après 8 mois de forfaiture contrôlée par la Fédération Internationale de Volley-ball. Et encourage le président légal et légitime de la FECAVOLLEY Julien Serge Abouem à ne pas abandonner.

Fragilisée depuis plusieurs années par la ”machine” Fédération Internationale de Volley-ball, la Fédération Argentine de la discipline a décidé de se ranger du côté de la Fédération Camerounaise de Volley-ball qui traverse depuis 8 mois une crise postélectorale sous les regards complices de la FIVB. Elle a adressé dans un e-mail un message de soutien et d’encouragement à Julien Serge Abouem, qui sur la base des lois camerounaises et celles de la FIVB demeure le président légal et légitime de la FECAVOLLEY « Nous, au nom de l’ARGENTINA VOLLEYBALL, (Federacion Argentina de Voleibol), apportons notre maximum de soutien à la Fédération Camerounaise de Volley-ball, nous connaissons très bien les attitudes de la FIVB, entre les mains d’Ary GRAÇA et Fabio Azevedo » a écrit Mario Goijman, ancien membre du conseil d’administration de la FIVB.
« Nous avons beaucoup souffert de leur manque de bonne foi et les avons également poursuivis devant la Justice de Lausanne. Mais c’est une “MAFFIA”, agissant au-delà des règlements et des lois. Ils ne se soucient pas de la démocratie, de la transparence et de l’honnêteté » a dévoilé le monsieur qui dénonce depuis plusieurs années la mal gouvernance des autorités de la Fédération Internationale de Volley-ball, avant d’encourager la FECAVOLLEY dans sa bataille. « Nous vous encourageons à ne pas abandonner !!! Allez-y et comptez sur le soutien de l’Argentine. Continuez et essayez de gagner contre ces dirigeants sportifs malhonnêtes », a conclu celui qui avavait hypothéqué son avenir pour une coupe du monde de volley-ball. Il s’est dit disposé à apporter des meilleures solutions Argentines pour la cause de la FECAVOLLEY.