Le tournoi international Open beach-volley FOMARIC 2022 aurait connu la participation de quatre pays étrangers parmi lesquels la Côte d’Ivoire. Représentée par la paire Essen/Otchoumou, le pays des éléphants termine huitième au classement général. Avant leur retour, Essen Olivier capitaine de la paire nous a livré une interview sur leur participation et leur séjour au Cameroun.
– Déjà dites-nous Olivier, comment est-ce que vous avez trouvé la compétition en terme de jeu ?
Le niveau est assez élevé. On venait pour découvrir, se confronter à d’autres équipes voir ce qu’on valait voir ce qui se passait en terme de Beach et là, on peut déjà dire qu’au niveau de la zone IV, le niveau du Beach est élevé.
– Que dire de votre prestation ?
Notre prestation est assez bonne parce que c’est notre première participation à un tournoi international, on joue parfois au pays mais c’est la première fois qu’on joue à l’extérieur et être classé huitième c’est un bon début.
– Qu’est-ce qui vous a motivé à prendre part au tournoi ?
L’envie d’apprendre, l’envie de découvrir, de pouvoir s’améliorer et de se perfectionner
– Etes-vous satisfait de votre résultat ?
On est satisfait de notre résultat, on est toujours là pour observer les autres matchs pour voir comment les autres jouent, voir comment ils font pour s’entendre, comment ils communiquent pour rentrer améliorer notre jeu.
– Comment est-ce que vous avez trouvé l’organisation ?
Plutôt bien ! On nous a reçu comme si on était chez nous, déjà que le Cameroun est un pays frère on était heureux de participer, heureux d’être venu.
– Le Ministère des sports et la Fédération ivoirienne de volleyball vous ont-ils soutenu pour ce tournoi ?
La Fédération a joué un rôle important au niveau du pays déjà pour faire toutes les démarches possible enfin qu’on puisse se déplacer parce que c’est une compétition qui n’est pas de notre zone qui est la zone III, la Fédération a vraiment fait un effort pour qu’on puisse participer.
– La Côte d’Ivoire a-t-elle déjà une équipe nationale en Beach ?
On peut dire qu’il y’a déjà une équipe nationale. On connait déjà les deux meilleures paires. Il y’a une paire qui est classée première, nous on est deuxième donc on peut dire qu’on a déjà une équipe nationale masculine ivoirienne de Beach.
– Pour finir, la tension qui née entre camerounais et ivoiriens durant la CAN de football n’a pas affecté votre séjour?
(Sourire) pas du tout ! Au niveau des ivoiriens s’était l’amusement, c’était la plaisanterie, quand on était assis avec les supporters camerounais on se taquinait on se disait que c’était pour rigoler. C’est juste le sport.
– Merci et bon retour
Merci également à vous
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