Quelques mois après son imposition à la tête de la Fédération Camerounaise de Volley-ball, par le Ministère des Sports et de l’Éducation Physique avec le concours du Comité National Olympique et sportif du Cameroun, Bello BOURDANNE est accusé de violation des textes, manquements graves aux textes, violation de l’éthique sportive et conflit d’intérêt par Antoine BIYAG membre de son Conseil d’administration.

Antoine BIYAG, pour le présenter était en gros le porte-parole de cette fraction de la Fédération Camerounaise de Volley-ball sur tous les plateaux des télévisions camerounaises. Il a mené un grand combat pour maintenir l’illégalité au sein de la FECAVOLLEY. « Malheureusement, tous ces efforts communs consentir sont aujourd’hui bafoués et sacrifié à l’aune des intérêts égoïstes, égocentriques et malsains pour la gloire individuelle de la personne qui est censé les protéger à savoir le président de la FECAVOLLEY monsieur Bello BOURDANNE », décrie-t-‘il dans une Notification-Conrespondance de trois formats. « Les membres du conseil d’administration de la FECAVOLLEY que nous sommes ne sauraient se limiter à émarger, manger, chanter les louanges du roi et garder un silence complice et coupable face aux dérives sportives observées actuellement au sein de notre fédération », a ajouté Antoine BIYAG.

Suite aux faits de violation des textes, manquements graves aux textes, violation de l’éthique sportive et conflit d’intérêt évoquer avec preuve à l’appui, Antoine BIYAG exige la démission de son allié d’hier. « Bello BOURDANNE doit impérativement et formellement démissionner du poste de président de la FECAVOLLEY afin de préserver la Fédération Camerounaise de Volley-ball en particulier et le mouvement sportif national en général d’un scandale de plus, car les instances nationales et internationales compétentes seront saisies en cas de résistance du président », prévient-il

Selon les faits dévoilés par Antoine BIYAG, Bello BOURDANNE a violé au total 5 articles en quelques mois. Les articles 45 et 46.c de la loi du 11 juin 2018 du Cameroun. L’article 14.3.c des statuts de la FECAVOLLEY. Les articles 10.1 et 10.5 du code d’éthique de la Fédération Internationale de Volley-ball (FIVB). Les sorties du Ministère des Sports et de l’Éducation Physique, du Comité National Olympique de Sportif du Cameroun et celles de la FIVB sont attendues.

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