Ligue Régionale de Volleyball du Littoral : Olivier Batonga lance un appel urgent au calme et à la retenue

Face à l’atmosphère qui règne au sein de la famille du volleyball camerounais et provoqué par certains membres du Littoral, en cette période pré-électorale et en marge de l’Assemblée Générale Extraordinaire du 27 décembre prochain au Centre International des conférences de Mbalmayo, Le coach FIVB niveau III et membre de la Ligue Régionale de Volleyball pour le Littoral a lancé ce mardi matin un appel urgent au calme et à la retenue dans le Littoral. Dans son message, Olivier Batonga déclare que Antoine Biyag ne peut pas être reconnu président de la Ligue pas la Fédération Camerounaise de Volleyball  du simple fait que l’AG élective de Nkongsamba n’avait pas rempli  toutes les conditions.

Son message

Bonjour à toutes et à tous chers membres de l’Assemblée Générale de la Ligue régionale du Littoral.

Je voudrais vous prier en tant que Secrétaire Général de la Ligue du Littoral, de ne plus continuer avec les guerres inutiles envers la fédération. Biyag ne peut pas être le Président de la Ligue Régionale du Littoral car il n’a pas le droit avec lui . Je croyais comme nous tous à l’époque qu’on l’avait élu , du simple fait que pour tenir l’AG, j’avais tenu informé le Délégué Régional des Sports par écrit. Tous les juristes que j’ai rencontrés me disent qu’on s’est floué et que le Président actuel de la Fédération est dans son droit de ne pas reconnaître le bureau formé à Nkongsamba. Il nous a manqué effectivement un acte de convocation de l’AG par les 2/3 des membres de cette dernière, du moment que BELLO avait démissionné du poste de Président . Vraiment, privelegions le retour du volleyball dans le Littoral et je vous prie de bien lire le post de notre aîné le Colonel Badjeck.

Vous allez tout dire de moi, qu’on m’a corrompu je sais , que je cherche mes intérêts je sais, mais qui ne cherche pas ses intérêts dans le Volleyball ? regardons la réalité en face et négocions. Personne de nous n’est aussi fort que le droit. C’était ma contribution.

MERCI